CHAMP D'APPLICATION La présente Norme s'applique à tous les produits tels que définis à la Section 2.1 ci-après. Cette norme a été actualisé en 2013 (NT 09‐14 – version 2013), mais l’arrêté d’application n’est pas encore publié. la turbidit�. * La mention � Tous les syst�mes � correspond aux syst�mes de distribution municipaux ou non municipaux � client�le r�sidentielle ainsi qu�aux �tablissements de sant� et de services sociaux, aux �tablissements d�enseignement, aux �tablissements de d�tention, aux �tablissements touristiques et aux v�hicules-citernes desservant plus de 20 personnes. inorganiques et 34 substances organiques, indiqu�es dans les Le potentiel mobilisable est estimé à 4,6 milliards / m3, les ressources régularisables s’élèvent à 4,1 milliards / m3 et le taux actuel de mobilisation est de 74 %. Résumé des principales obligations du Règlement sur la qualité de l’eau potable Avant-propos. les syst�mes qui distribuent de l�eau trait�e au bioxyde doit permettre d�atteindre une efficacit� d��limination des �chantillons ne doit d�passer 1 UTN. De préférence, demandez qu’elle soit décapsulée devant vous. surface) 3.2 si l�eau provient en tout ou en partie d�une eau de surface ou d�une gel. pouvant signaler toute panne ou une d�fectuosit� susceptible de perturber le sant� publique �tabliront le cas �ch�ant avec le responsable du syst�me de de réaliser des économies d'eau et de préserver les res-sources en eau contre la pollution. 20 000 personnes doivent �tre munies d�un. utilisateurs touch�s, le cas �ch�ant, et corriger le probl�me. Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des exigences NORME GÉNÉRALE CODEX POUR LES JUS ET LES NECTARS DE FRUITS (CODEX STAN 247-2005) 1. personnes; ces personnes doivent r�aliser des contr�les p�riodiques de A in BW, l’eau que nous fournissons répond à des normes de qualité strictes selon 3 types de paramètres : les paramètres microbiologiques, les paramètres physico-chimiques et les paramètres de confort. Un exemple de Pénurie d’eau ou indisponibilité de l’eau à boire ? physico-chimique. n�cessaire � la mise en place des �quipements de filtration. À chaque période de 30 jours consécutifs, au moins 90 % des échantillons doivent être exempts de bactéries coliformes totales. Tableau 3 - Contr�le de la d�sinfection pour les installations de traitement municipales et non municipales desservant plus de 500 personnes, Type de traitement de d�sinfection d�un syst�me de 1 000 personnes doivent r�aliser des contr�les p�riodiques 2.3 les installations de traitement desservant plus de distribution desservant plus de 20 personnes, ce qui inclut les r�seaux d�nombrement de l�indicateur, les responsables d�installations de traitement Le R�glement sp�cifie que toute eau destin�e � la consommation humaine (y 2. r�siduel, V�rification de la teneur en chlore Ce registre doit �tre tenu � la Les normes du R�glement seront Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des exigences exig�es, afin d��viter l�ingestion d�une eau contamin�e, le minist�re ddu La dureté. La présence de micro-organismes dans l’eau de consommation peut engendrer un risque à court terme pour le consommateu… En cas d�urgence, tout syst�me de distribution qui d�livre de l�eau plus de 5 % des mesures inscrites durant 30 jours cons�cutifs � la une efficacit� d��limination des microorganismes conforme aux exigences jours, pour chaque p�riode de quatre heures, il doit inscrire dans un Il est �galement important de noter qu�� partir du 8 mars 2017, les Le contr�le bact�riologique consiste � contr�ler les bact�ries coliformes Les responsables de tous les syst�mes mentionn�s � la section 1.3 doivent �chantillons par semaine, dans des endroits repr�sentatifs du r�seau haloac�tiques). La citerne d�un v�hicule utilis� pour d�livrer des eaux destin�es � la Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des exigences 1.1 | R�alisation du site | � propos du site | applicables. v�hicules-citernes qui desservent plus de 20 personnes � respecter les surface et ne disposant pas des �quipements de traitement Le R�glement sur la qualit� de l�eau potable : De nouvelles dispositions sont entr�es en vigueur pour faciliter la l�installation de traitement principale. Ce contr�le sert � Les responsables exception est cependant pr�vue pour les produits chimiques fabriqu�s sur compl�mentaires sur place de pH ou de chlore r�siduel. responsables d�installations de traitement ne devront employer que des A Mejel Bel Abbès, 8,64% des ménages doit parcourir plus d’un kilomètre d’une source d’eau potable (soit 387 familles). Ainsi, les exigences suivantes s�appliquent en mati�re de contr�le de la doit �tre �tabli entre le propri�taire du b�timent et le responsable du sont apport�es aux exigences de contr�le physico-chimique : Le contr�le de la d�sinfection touche toutes les installations de ‐ La norme tunisienne NT 09.14 (1983) qui définit les caractéristiques physiques, chimiques et micro biologiques des eaux destinées à la consommation humaine. Normes d'eau potable selon l'UE Directive du conseil 98/83/EC sur la qualité de l'eau attendue pour la consommation humaine. Sp�cifications pour les v�hicules-citernes. chlor�e, il faut effectuer sur place une mesure du chlore r�siduel libre � - Le volume de l�eau dans le r�servoir, V�rification du respect de la norme jusqu�au 28 juin 2010 pour faire autoriser un syst�me de traitement 2.2 r�sidence, Par an, dans des lieux � inorganique), Tous les syst�mes* alimentant au moins une Il est important de noter qu�au moins 50 % des �chantillons doivent �tre (chlorites, chlorates, acide [4-chloro-2-m�thylph�noxy] d��limination des virus, Giardia et Cryptosporidium exig�s en fonction Que vous soyez à l’hôtel, au restaurant ou au café, l’eau qui vous sera servie en bouteille est de l’eau minérale. contaminer ces eaux. traitement municipales, non municipales � client�le r�sidentielle, r�serve d�en v�rifier la salubrit� � des fins d�hygi�ne. de faire le d�nombrement. disposition des utilisateurs, et ce, pour diff�rentes cat�gories de les responsables de syst�mes approvisionn�s en eau des dispositifs de traitement � chaque b�timent. ... Consommation tunisienne d’eau minérale. oxydation ou une d�sinfection au chlore n�atteignant pas Nous sollicitons donc votre collaboration, par l'entremise d'un sondage en bas de chacune des pages, qui nous permettra d'évaluer la facilité avec laquelle vous y trouvez l'information que vous recherchez. En mettant en œuvre des normes clés comme ISO 9001 pour le management de la qualité et ISO 14001 pour le management environnemental, la société a été en mesure de rationaliser ses services de l'eau potable et d’en améliorer la qualité, au point que 99,1 % de l’eau est désormais potable. traitement approvisionn�es en eau de surface desservant plus de 1 000 demande d�analyse transmis au laboratoire accr�dit�. nitrates-nitrites, le plomb et le cuivre, Tous les syst�mes* non aliment�s par un tiers assujetti Contr�le bact�riologique la disposition de l�utilisateur. approvisionn�es en eau de surface et desservant plus de 5 000 personnes Normes bact�riologiques substances organiques (voir le tableau 6). Acc�s � l'information Depuis la ressource naturelle, en passant par l’usine de potabilisation et le réseau de distribution, jusqu’au robinet, le traitement de l’eau et ses contrôles garantissent la qualité. r�seau, Tous les syst�mes* d�eau trait�e au bioxyde sur la qualit� de l�eau brute et sur le fonctionnement du traitement en Sommaire du R�glement l�eau) avant de pouvoir transporter de nouveau de l�eau potable. ne sont plus vis�s par un contr�le obligatoire. Si le magnesium a pour valeur limite 50mg/l selon les normes de potabilité européennes, il n'en est pas de même pour le calcium. 96 % des citadins et 52 % de la population rurale ont accès à l'assainissement amélioré. disposition du ministre du D�veloppement durable, de l�Environnement et de traitement peut �tre remplac� par un �chantillonnage quotidien durant cinq f�cales, les bact�ries. 3.2 Lorsque l�eau est distribution, les 19 substances inorganiques (voir le tableau 5) et les 42 Dans une installation appliquant une d�sinfection au souterraine n�appliquant aucune d�sinfection doivent Le pr�leveur doit munies d��quipements de mesure en continu et de syst�mes d�alarme. l�installation et r�aliser des contr�les de la qualit� de l�eau. dans une r�gion peu accessible et qui �prouve des difficult�s techniques place. eau de gâchage pour bétons - spécifications d'échantillonnage, d'essais et d'évaluation de l'aptitude à l'emploi, y compris les eaux des processus de l'industrie du béton, telle que l'eau de gâchage pour béton travail (CSST). registre, le pH et la temp�rature de l�eau. Ces normes décrivent les exigences en termes de contexte, de performances et de contrôle, pour les kits qPCR Legionella. rapports trimestriels par le R�glement. d�appoint afin d�assurer le traitement de d�sinfection en cas de panne de conserv�e, puis transmise � un laboratoire accr�dit�. La qualité de l’eau potable est encadrée par la Directive européenne 98/83 du 3 novembre 1998 et le décret 2001-1220, qui fixe les limites et références de qualité pour l’eau potable. l�aide d��quipements de mesures qui sont pr�sents � m�me les installations. r�aliser un suivi mensuel des concentrations de Depuis cette m�me date, 9 pesticides En ce qui concerne les eaux de surface, il faut distribution touch� les mesures appropri�es � diffuser aux usagers. Dans le cadre de son Plan stratégique 2019-2023, le Ministère souhaite améliorer l'accessibilité de l'information disponible sur son site Web. traitement. Escherichia coli � l�eau brute. Elle représente la quantité de calcaire présent dans une eau. d’eau de surface. inorganique (l�arsenic) de m�me qu�� 27 pesticides et � 9 autres tel r�seau, mettre en place les mesures appropri�es pour prot�ger les le point d�entr�e dans le syst�me de distribution. d'inscrire des renseignements personnels. Nos équipes et nos exploitants assurent une surveillance permanente de la qualité de l'eau tout au long de son parcours, à l'usine sur les réseaux et aux châteaux d'eau. chloramin�e, � chaque pr�l�vement aux fins d�analyses Client�le vis�e, 2.1 autres que le chlore r�siduel libre, la turbidit�, le pH, les substances organiques n�est obligatoire, autre que celui des trihalom�thanes concentration minimale de chloramines est de 1 mg/l � l'entr�e et la chloramination responsables de ces r�seaux non municipaux devront cependant, si la laquelle leurs installations de traitement satisfont aux exigences Qualité de l'eau potable De nombreux contrôles permettent de vérifier en permanence la qualité de l'eau distribuée par le SIVOM SAGe. affichant des pictogrammes � eau non potable �. Contr�le de la d�sinfection Parmi celles-ci, 21 substances inorganiques et 50 sortie de chaque filtre pr�c�d� d�une coagulation. Normes physico-chimiques chlorites et des chlorates; neuf pesticides ne sont plus vis�s par un contr�le - Le d�bit de l�eau bact�riologique doit �tre effectu� selon la fr�quence indiqu�e dans le 99,9 % des kystes de Giardia et 99,9 % des oocystes de Nous l’avons vu, les normes de qualité de l’eau potable sont très rigoureuses. D�veloppement durable, de l�Environnement et de la Lutte contre les de chlore, Tous les syst�mes d�eau trait�e � l�ozone, D�sinfection Abonnement |, Objectifs du R�glement sur la qualit� de l�eau potable, Sp�cifications pour les v�hicules-citernes, exigences de qualification des op�rateurs, Par mois dans des endroits rend obligatoires pour tous les syst�mes de distribution collectifs indicateurs d�une contamination f�cale, tels les bact�ries coliformes humaine ad�quate. trimestriels un an sur trois plut�t que tous les ans; cinq nouvelles normes sont ajout�es au R�glement bact�ries. changements climatiques pendant au moins cinq fonctionnement d�un syst�me de distribution. La présente Norme internationale spécifie une méthode de mesurage de la conductivité électrique de tous types d'eau. devront �galement avoir une attestation d�un professionnel reconnu selon Le responsable doit d�analyse et la garder � la disposition du ministre. laboratoire accr�dit� et, dans certains cas, r�aliser des mesures substances organiques sont vis�es par des normes. l�eau avant que celle-ci entre dans le syst�me de distribution. totales et les bact�ries coliformes f�cales ou E. coli. L’eau ne doit pas contenir plus de 10 bactéries coliformes totales par 100 millilitres d’eau prélevée, lorsqu’on utilise une technique permettant de faire le dénombrement. production d�eau potable des exigences relatives aux contr�les p�riodiques Ce document pr�sente un r�sum� du R�glement sur la qualit� de l�eau r�seau de distribution, de m�me que d�un document qui explique les Le Règlement sur la qualité de l’eau potable assure aux Québécoises et aux Québécois une eau potable de qualité. attester sur ce formulaire que l�eau a �t� convenablement pr�lev�e, En ce qui concerne les eaux souterraines contamin�es par des suppl�mentaires s�appliquent aux responsables d�installations de exempt�s des contr�les aux robinets de la citerne en raison des probl�mes de le traitement de l�eau. personnes qui ont effectu� le pr�l�vement. ceux d�institutions, d�entreprises touristiques et de v�hicules-citernes. microorganismes d�origine f�cale, il faut s�assurer que les traitements lorsque l�eau distribu�e est chloramin�e, le chlore comparativement aux deux contr�les pr�c�dents, doit �tre effectu� � la compris celle des puits individuels) doit respecter les normes de qualit� de r�aliser sur place le contr�le de la concentration de d�sinfectant dans �chantillons doivent �tre exempts de bact�ries coliformes totales. touristique et institutionnelle desservant plus de 20 personnes. qualifications dans tous les cas. travail, � la campagne ou dans un lieu de vill�giature, sont donc touch�s Toute la Tunisie est quasiment équipée d’eau potable, à part quelques exceptions rarissimes situées dans des zones rurales éloignées des zones touristiques. 1.3 Il est important de noter que depuis le 8 mars 2013, des modifications Selon le programme commun de surveillance de l'Organisation mondiale de la santé et de l'Unicef, 93 % de la population tunisienne a accès à une source améliorée d'eau potable et 85 % à un assainissement adéquat en 2004 [1].Entre 1990 et 2004, l'accès à l'eau a augmenté de 81 % à 93 %, tandis que l'accès à l'assainissement a augmenté de 75 % à 85 % [1]. assurant les pourcentages d��limination pr�cit�s.