Un coût de 10 à 15 milliards d'euros est annoncé[13]. Améliorez-le ou discutez-en. Depuis plusieurs semaines, lors des dernières réunions, alors qu'SNCF Réseaux avait plus ou moins mis en avant les avantages du tracé Ouest par rapport au tracé Est, c'est finalement le tracé Est qui a été retenu, ce qui était déjà annoncé sur les réseaux dès 9 h 54 ce jeudi 26 octobre 2017, alors que la réunion décisive du Copil n'avait lieu que l'après-midi. Ligne nouvelle Paris Normandie : projet essentiel pour le gouvernement, Liaison ferroviaire transalpine Lyon - Turin, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Ligne_nouvelle_Paris_-_Normandie&oldid=177796131, Article utilisant l'infobox Ligne ferroviaire sans argument numéro, Article avec une section vide ou incomplète, Portail:Transports en Île-de-France/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Coût du projet : 7-8 milliards d'euros (LGV Normandie) + 1,1 milliard d'euros (contournements entre, Coût du projet : 9 milliards d'euros (+ 500-800 millions d'euros pour l'embranchement entre, Coût du projet : 10 milliards d'euros (+ 500-800 millions d'euros pour l'embranchement entre, la création d’une gare à la Défense qui sera connectée à la, la création d’une gare à Saint-Sever (à la rive gauche de, la rénovation et l'agrandissement des trois principales gares actuelles de. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En arrêtant un faisceau, les membres du Copil fixent, en fait, un long couloir dans lequel s’insérera la ligne. Le coût de l'infrastructure et du remplacement des rames Corail actuelles par des TGV serait élevé pour un gain de temps modeste, de l'ordre de trente minutes. La LGV Nord, appelée aussi LGV Nord Europe ou ligne nouvelle 3 (LN3), est une ligne à grande vitesse française de 333 km de long reliant Paris à la frontière belge et au tunnel sous la Manche via Lille, mise en service en mai 1993. Disparition des terres, fermeture des petites gares, coût… le projet de ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN), prévu par la SNCF pour améliorer la desserte actuelle, déconcerte les habitants. La CNDP décide le 6 avril 2011 d'organiser un débat public et de nommer Olivier Guérin président de la commission particulière chargée de son organisation[14]. Il s'est réuni le 15 février 2011 pour une estimation des coûts du projet[25]’[26]. Le projet de ligne nouvelle Paris-Normandie est conçu pour améliorer les déplacements du plus grand nombre, de celui qui se déplace chaque jour comme du voyageur plus occasionnel, des Franciliens comme des Normands. Toutes les informations pour votre voyage en TER Normandie : horaires des trains, info trafic, achats de billets, offres et abonnements, prochains départs/arrivées, infos pratiques gares (octobre) première réunion à Mantes-la-Jolie du comité de pilotage de la future ligne à grande vitesse Paris – Normandie. Parce que le train est synonyme de voyage, pour illustrer et comprendre l’étendu et les actions de SNCF Réseau, consultez nos cartes ferroviaires. Présidé par le délégué interministériel au développement de la Vallée de Seine, il est composé d’Hervé Morin, président de la Région Normandie, et de son homologue d’Île-de-France Valérie Pécresse, des présidents de départements et des élus des principales agglomérations concernées par le projet. Dans ce même projet, il est proposé de créer un contournement Lisieux – Elbeuf d'une soixantaine de kilomètres, qui permettrait une diminution d'une demi-heure du temps de parcours Rouen–Caen[39]. À long terme, une liaison à grande vitesse reliant la Normandie au Nord de la France et à l'Europe pourrait voir le jour, avec la réalisation d'une liaison entre la gare TGV existante d'Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV et la future gare TGV de La Défense, où aboutiraient les trains en provenance de la Normandie, ainsi que des Eurostar, des Thalys et des TGV[40]. Une Transversale Alpes Auvergne Atlantique permettrait de relier la région Auvergne-Rhône-Alpes au Grand Ouest, et aussi de relier Paris à Saint-Lô et Granville à grande vitesse. Tweet . Il a confirmé que le débat public aura lieu en octobre 2011. (mai) troisième réunion du comité de pilotage de la future ligne à grande vitesse Paris – Normandie. Pour la gare nouvelle de La Défense, l'option d'une gare traversante intéressante apparaît : ainsi la gare de La Défense pourrait ne pas être un terminus obligé, l'ajout d'un tunnel entre la nouvelle gare de Nanterre-La Folie et les voies de surface menant à Paris-Saint-Lazare (implantation « en ligne ») permettrait de conserver la desserte actuelle et les correspondances de Paris-Saint-Lazare tout en permettant une fréquence de desserte comparable à Nanterre-La Folie. les TGV Normandie. L'option d'un tracé sud (Le sud est un point cardinal, opposé au nord. La ligne nouvelle doit être définie pour une vitesse maximale de 200 km/h entre Paris et Mantes et de 250 km/h au-delà. À l’issue de cette enquête, si elle est favorable, le projet de LNPN sera déclaré d’utilité publique par le ministère des Transports, point de départ de la réalisation de l’infrastructure. Ce tracé traverserait le parc naturel. Antoine Rufenacht, président de la Communauté de l'agglomération havraise, aujourd'hui Le Havre Seine Métropole, et Laurent Fabius, président de l'agglomération de Rouen, aujourd'hui la métropole Rouen Normandie, se sont rencontrés fin juin 2009 à Paris. Ces trois mois de réflexion, qui doivent aboutir à une loi de programmation, ont pour objectif de remettre à plat tous les projets d’infrastructures de transport, dont la ligne nouvelle Paris-Normandie. Le schéma directeur des LGV de 1991, approuvé par décret le 1er avril 1992[4], prévoit une LGV Normandie. Ligne Paris-Normandie. Le comité de pilotage se trouve confronté à une inconnue importante : y aura-t-il ou non une nouvelle gare à Achères ? Ces deux options obtiennent des résultats similaires au jeu de l’analyse multicritères. Le tracé proposé permet de trouver une solution partielle à tous ces problèmes. Le projet prévoit désormais en plus de la création d’une nouvelle ligne TGV, de doubler la fréquence des TER entre Aix et Marseille et Marseille et Aubagne, en proposant jusqu’à 8 TER par heure, soit un TER toutes les 7 minutes. La nouvelle ligne a été mis en service le 2 juillet 2017. Il se peut que ces informations soient de nature spéculative et que leur teneur change considérablement alors que les évènements approchent. Celui-ci traverse une quinzaine de communes du Vexin, d'est en ouest entre Sagy et Amenucourt en passant notamment par Condécourt, Drocourt, Saint-Cyr-en-Arthies, Vétheuil et Chérence. Bilan du débat public sur le projet de ligne nouvelle Paris – Normandie du 3 octobre 2011 au 3 février 2012, établi le 21 mars 2012. Si l’on s’en tient toutefois à l’analyse multicritères effectuée par SNCF Réseau, la LNPN pourrait se passer de ce nouvel équipement en empruntant une zone située au sud d’Achères et au nord de Saint-Germain-en-Laye. 1 Près de Toulouse. L’une d’elles consistait en la modernisation de la ligne existante. Le calendrier initialement prévu est respecté, puisque, le 26 octobre 2017, un comité de pilotage doit permettre de franchir une étape importante : proposer au gouvernement des options de tracés prioritaires pour les trois sections de la LNPN (Paris-Mantes, Mantes-Évreux et Rouen-Yvetot). Primo, toutes les options possibles ont été mises en perspective afin de statuer sur des choix préférentiels, notamment sur : Secundo les modèles économiques, écologiques, de fiabilité de confort, de capacité, de régularité et de rapidité ont été actés. D'abord envisagé sous la forme d'une ligne à grande vitesse (LGV), le projet est remanié à la suite du débat public, qui s'est tenu du 3 octobre 2011 au 3 février 2012. Selon Réseau ferré de France, maître d'ouvrage, le Havre et Caen seraient à 1 h 15 de Paris (Rouen à 45 minutes), au lieu de 2 heures actuellement, rendant le train plus concurrentiel par rapport à la route. Proposé et défendu bec et ongles par le député PS de Seine-Maritime Christophe Bouillon, ce tracé semble d’ores et déjà écarté, si l’on s’en tient à l’analyse multicritères effectuée par SNCF Réseau. C'est le scénario dit du « Y normand », ce projet est soutenu par la région Basse-Normandie et la région Haute Normandie. Peu à peu, le tracé de la ligne nouvelle Paris-Normandie se dessine. Une gare nouvelle serait créée à Paris-La Défense en correspondance avec le métro automatique du Grand Paris[8]. Plusieurs types de tracés sont proposés. Par ailleurs, une demande formulée par la ville d'Achères[10] et la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise[11] consiste à créer une gare nouvelle au Pôle Confluence, dans le secteur d'Achères, pour mettre en correspondance le RER E (et le RER A branche Poissy) avec le RER A branche Cergy et avec la Tangentielle Ouest et, si possible, avec la future LGV Normandie. En octobre 2012, le projet s'oriente vers une requalification sous forme de ligne classique avec une simple modernisation des voies existantes. Un chauffeur de la RATP coupe le doigt d'un cycliste après une dispute, 3 Miss Normandie, Amandine Petit, est élue Miss France 2021, 4 Pour les parents de Miss Normandie, près de Caen : « de toute façon, elle sera notre Miss France ! Faire du Havre le port maritime de la capitale. "Le tracé par Mantes est le plus central et correspond à notre volonté d'obtenir un TGV pleinement normand, renchérit Laurent Beauvais, président (PS) de la région Basse-Normandie. Le premier est partisan d'une ligne passant par le nord de Rouen, évitant le creusement d'un tunnel sous la Seine, le second est favorable à une ligne faisant escale dans la future gare du quartier Saint-Sever[9]. Secrétaire d’État chargé des Transports : Les présidents ou directeurs de RFF et de la SNCF : Maires des villes de Cherbourg, Caen, Le Havre et Rouen : Le 15 octobre 2009, à l'issue de la première réunion du comité de pilotage de la ligne à grande vitesse Paris - Normandie, le projet semble s'orienter vers une ligne en forme de fourche avec un tronçon commun où seraient desservis le pôle de La Défense et Mantes-la-Jolie et deux branches : l'une en direction de Rouen et du Havre et une l'autre en direction de Caen et de Cherbourg[17]. De 2001 à décembre 2008, le projet de LGV Normandie a donc été abandonné par les hommes politiques, il a été remplacé par celui de liaison rapide Normandie Vallée de Seine, qui prévoit une amélioration de l'infrastructure existante, notamment entre Paris et Mantes-la-Jolie, avec en outre la construction d'une ligne nouvelle plus courte entre Achères et Épône qui « court-circuiterait » le détour par Poissy, suivant le méandre de la Seine[5]. Le 26 octobre 2017, un comité de pilotage doit se réunir pour soumettre ses propositions au gouvernement. », 5 Val-d’Oise. nécessaire]. Le comité évoque les trois principaux groupes de scénarios possibles avec une estimation de coût maximal[21]’[22]’[23]’[24] : Le premier groupe de scénarios prévoit que la LGV Normandie passe par Rouen et Le Havre sans création de vrai « Y Normand », mais avec la création des trois contournements sur la ligne classique Paris - Cherbourg : le premier entre Mantes-la-Jolie et Évreux ; le second entre Évreux et Bernay en passant par Serquigny ; le troisième entre Bernay et Lisieux. Le comité de pilotage gère les études préliminaires et il vise également à définir le cadre et le contenu du débat public prévu en octobre 2011. Il est donc pour l’heure difficile de présager celle qui obtiendra les faveurs du comité de pilotage, fin octobre. La concertation a notamment permis de recueillir les avis du public sur les tronçons prioritaires, à savoir : un tronçon Paris – Mantes, un tronçon Mantes – Évreux et un tronçon Rouen – Yvetot[2], avec la construction d'une nouvelle gare à Rouen. Elle a également comme avantage d’être compatible avec un projet de gare dans le quartier de Nétreville à Évreux, projet qui a les faveurs des élus du département et des grandes intercommunalités de l’Eure. (décembre) quatrième réunion du comité de pilotage de la future ligne à grande vitesse Paris – Normandie. Une association de chefs d’entreprise propose un tracé alternatif pour la ligne TGV Paris-Normandie actuellement en discussion. Deux scénarios semblent donc tirer leur épingle du jeu : l’un par l’ouest, longeant l’autoroute A150, l’autre par l’est, sur un axe proche de la ligne déjà existante. Une branche de Rouen à Bernay, ainsi qu'une « antenne » de la LGV en direction d'Évreux, à partir de Chaufour-lès-Bonnières, pourraient être créées. Lire la suite. Sur la section reliant Rouen et Yvetot, trois possibilités étaient à l’étude. Mais Nicolas Sarkozy n'a pas exclu la construction d'une branche de la LGV Normandie entre Paris et Caen qui a été mise à l'étude ; les TGV rouleraient de Cherbourg à Caen sur la ligne classique Paris - Cherbourg, puis à la gare de Caen, ils emprunteraient la LGV Normandie. Celle-ci quitterait la ligne Paris - Le Havre à hauteur d'Achères (Yvelines), traverserait le Vexin français, et serait séparée en deux près de Rouen, une branche filant vers Rouen, une autre s'arrêtant près de Bernay (Eure) et se connectant à la ligne Paris-Caen-Cherbourg. Le dossier du maître d'ouvrage[30] avance prudemment les options possibles, en précisant que, si des TGV intersecteurs pourront circuler sur les voies nouvelles, la ligne sera en revanche adaptée à un autre type de matériel circulant à 250 km/h. Un homme retrouvé mort au volant de sa voiture sur le parking d'une clinique, 2 Seine-Saint-Denis. Il aurait été constitué d'un tunnel à voie unique entre La Défense et Saint-Denis en desservant une gare d'interconnexion TGV à Pleyel sans transiter par Paris[réf. Le calendrier initialement prévu est respecté, puisque, le 26 octobre 2017, uncomité de pilotage doit permettre de franchir une étape importante : proposer au gouvernement des options detracés prioritaires pour les trois sections de la LNPN (Paris-Mantes, Mantes-Évreux et Rouen-Yvetot). De quoi susciter de nouvelles polémiques, certes, mais aussi poursuivre la réflexion sur ce projet dont l’aboutissement est espéré à l’horizon 2030. Or, le projet des services secrets se situe quasiment sur le tracé initialement prévu du TGV Perpignan-Montpellier. À la surprise générale, lors de la présentation du projet du Grand Paris, le président de la République française, Nicolas Sarkozy, a exprimé la nécessité de lancer la construction d'une LGV entre Paris et Le Havre avec la construction d'une gare nouvelle près de Rouen, ce projet étant annoncé comme devant voir le jour vers 2017. Il prévoit désormais la réalisation d'une ligne apte à une vitesse maximale de 250 km/h, conçue pour la circulation des trains de grandes lignes (Omnéo premium) et des 4 novembre 2009 - Grande vitesse, Infrastructure - No Comments + Suivre . Par : La Vie du Rail. Contrairement aux apparences, la ligne nouvelle Paris-Normandie (LNPN) avance. Où passera le train ? Alain Le Vern, président de la région Haute-Normandie confirme sur le plateau de France 3 qu'il n'y aura pas de ligne à grande vitesse entre Paris et Le Havre mais une amélioration de l'existant[16]. À la suite du projet du Grenelle Environnement de poursuivre le maillage du territoire, qui prévoit la construction de 2 000 kilomètres de voies d'ici 2020, en décembre 2008, les élus locaux, Bernard Cazeneuve, député-maire de Cherbourg-Octeville, Philippe Duron, député-maire de Caen et Laurent Beauvais, président du Conseil régional de Basse-Normandie, relancent le projet de la construction de la LGV de Paris à Cherbourg en passant par Caen et demandent au secrétaire d'état aux transports, Dominique Bussereau, et au président de la SNCF, Guillaume Pepy que ce projet de construction de 2 000 kilomètres de voies doit prendre en compte la desserte de la Normandie[6],[7]. • Sur Facebook, le député Christophe Bouillon fait part de sa perplexité sur la section Rouen-Yvetot : Perplexe. Le projet soumis au débat comprend 6 options de passage de ligne nouvelle entre Paris et Mantes, pour un linéaire variant de 40 à 50 km et un coût de 3,5 à 5,5 milliards d'euros et trois scénarios de ligne nouvelle en Y de l’ouest de Mantes à Caen et au Havre, pour un linéaire variant de 265 à 305 km et un coût de 5,5 à 9,5 milliards d’euros.