Le 22 mars 1815, le colonel Toussaint du Breil de Pontbriand, reçoit du Prince de La Trémoille l'autorisation de lever des troupes dans les Côtes-du-Nord. Une convention est finalement signée et les Prussiens s'engagent à ne pas entrer dans le département. Mais pendant ce temps, Travot sortait de Nantes avec 1 500 hommes et marchait à la rencontre des Vendéens. Mais le 18 juin le général impérial Auguste Julien Bigarré entre à Ploërmel où il fait sa jonction avec les hommes du général Rousseau sorti de Vannes. Découvrez sur Babelio.com livres et les auteurs sur le thème guerres de vendée. Mais le 18 juin le général impérial Auguste Julien Bigarré entre à Ploërmel où il fait sa jonction avec les hommes du général Rousseau sorti de Vannes. De son côté, le marquis de Coislin prit le commandement des insurgés de la Loire-Inférieure : il mobilisa 4 000 à 5 000 hommes, particulièrement dans les pays de Redon et Guérande mais ne livra que peu de combats. Il entama les hostilités le dernier soit le 27 mai 1815. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. D'Autichamp en profite et prend Cholet sans coup férir. F. Guyon et H. Champion, 1904-1935, pagination multiple. La situation devient cependant critique, la frégate britannique L'Astrée a des difficultés à se maintenir près des côtes, les troupes manquent de vivres et les renforts envoyés par Napoléon ont déjà gagné l'Anjou. Le 7 juillet, ils tentent une attaque sur Guérande mais ils sont repoussés. Il soulève les environs de cette ville, ainsi que les pays de Montfort-sur-Meu et Saint-Méen-le-Grand et prend comme seconds Gabillards, Jacques François de Mellon et son frère Joseph. Cependant les bonapartistes ne réagissent pas et aucun combat ne se déroule sur le territoire de la division. En mai 1814, la population du Nord-ouest de la France avait dans sa majorité favorablement accueilli la Restauration de la monarchie. D'Ambrugeac rassembla quelques hommes dans la Sarthe. Delaborde échappe aux recherches[29]. Dans la soirée, La Rochejaquelein, inquiet, fait cesser le débarquement et décide de gagner Saint-Jean-de-Monts. Pour les Vendéens, la situation était devenue très critique, aussi le général Lamarque décide d'envoyer de nouvelles propositions de paix. C'est une lourde défaite pour les forces vendéennes. Battue, l'armée vendéenne se replie en bon ordre[11]. - Cholet : Pierre Rabjeau éd. Afin de pacifier la contrée, l’Empereur crée l'armée de la Loire, composée des divisions des généraux Jean-Pierre Travot, Estève et Brayer, et met à sa tête le général Lamarque afin de remplacer Delaborde, tombé malade. Martin, Le Mans, 1988. Quelques hommes sont tués, puis les ex-Impériaux, surpris, se rendent. Mais Travot en est informé, et dans la nuit du 20 mai, il attaque avec 1 000 hommes, les 8 000 Vendéens de Louis de La Rochejaquelein et Suzannet à Aizenay. Le 11 mai, à La Chapelle-Basse-Mer, Suzannet et d'Autichamp décident de lancer les hostilités pour le 15 mai. La monarchie est restaurée mais des groupes vendéens et chouans restent sous les armes. Les Chouans regagnent ensuite Rochefort-en-Terre. Le 5 juin, l'Armée gagne Peillac, les 6 et 7 elle est à Rochefort-en-Terre, le 8 à Questembert, le 9 à Muzillac où elle attend un débarquement d'armes par les Britanniques. Le 2 juin, à Saint-Gilles, Grobon passe à l'attaque avec 300 hommes, dans l'attente de renforts, il fait retrancher ses troupes dans une chapelle. Une partie de l'armée dirigée par Le Mintier tente, mais sans succès, de prendre La Trinité-Porhoët. Le 20 juillet, le Prince de La Trémoille débarque à Saint-Malo qui se rallie au Roi. Maîtres des campagnes et des petites villes, les Chouans songent un temps attaquer Saint-Brieuc mais renoncent. Cependant cette tentative se solde par un échec, les paysans refusèrent de se révolter et les rares personnes qui acceptèrent de prendre les armes se plaignirent rapidement de ne pas avoir touché leur solde promise par le duc de Bourbon. Puis, le 31 mai, ils gagnent Josselin où la population leur fait bon accueil. L'affrontement est court, les fédérés paniquent et les Chouans remportent une première victoire. Il soulève les environs de cette ville, ainsi que les pays de Montfort-sur-Meu et Saint-Méen-le-Grand et prend comme seconds Gabillards, Jacques François de Mellon et son frère Joseph. Plancoët est reprise, puis Broons, Matignon et Ploubalay sont occupées par les Chouans, enfin Lamballe et Moncontour sont prises sans résistance. Pour l'Ouest, une armée de 40 000 Prussiens commandée par le général de Borcke étaient en route. Ce que Danièle Sallenave pointe du doigt, c'est, à partir de la Restauration, une réécriture de l'histoire. Le 22 juillet, les Chouans défilaient à Vannes. Les insurrections vendéennes et chouannes avaient immobilisé dans l'Ouest plus de 10 000 hommes de troupes de ligne, sans compter les conscrits qui avaient rejoint les insurgés[18]. Une compagnie d'élite de 126 officiers est formée dont trois colonels : Plouër, Busnel et Sévère de La Bourdonnaye. Cette série ambitionne de mettre à la portée de tous une histoire attractive, rigoureusement authentique qui se réfère aux travaux les plus récents. Afin de pacifier la contrée, l’Empereur crée l'armée de la Loire, composée des divisions des généraux Jean-Pierre Travot, Estève et Brayer, et met à sa tête le général Lamarque afin de remplacer Delaborde, tombé malade. Mais le succès est de courte durée, dès le lendemain, parti de Parthenay, le général impérial Henri-Pierre Delaage à la tête de 500 hommes et d'un escadron du 2e régiment de hussards reprend la ville aux Vendéens qui battent en retraite presque sans combattre[15]. De son côté Lamarque, secondé par Brayer, quittait Nantes avec 3 000 hommes, le 11 juin il faisait sa jonction avec Travot à Machecoul, le 12 juin il occupait Legé et Palluau. Après avoir songé à attaquer l’île de Noirmoutier, les Vendéens décident finalement de prendre Napoléonville (La Roche-sur-Yon). Militairement vaincus, le Vendéens se retrouvaient alors dans le camp des vainqueurs et les derniers chefs signèrent la paix à Cholet le 26 juin. Finalement les 34 officiers vendéens présents passent au vote, 22 se prononcent pour la paix, 12 pour la guerre. Néanmoins Lamarque choisit d'envoyer d'ultimes propositions de paix qui sont rejetées par les Vendéens, y compris par d'Autichamps et Suzannet, ce dernier regrettant ses anciennes actions depuis la mort de La Rochejaquelein dont il se sentait en partie responsable. Néanmoins le manque d’armes de guerre et de munitions, par suite de son éloignement de la côte et de l’escadre anglaise, centre de ravitaillement, réduisit à une faible action cette zone. Des volontaires affluent de Saint-Malo et Lamballe, les paysans se soulèvent, la commune de Plumaugat se distingue en fournissant 60 hommes à elle seule. La bataille s'engage, elle tourne à l'avantage des Impériaux, La Rochejaquelein est tué lors du combat. Les huit chouans sont forcés de se rendre et sont conduits dans un bateau pour Saint-Malo, ils parviennent néanmoins à s'enfuir grâce à la complicité du capitaine. - 120 p. : ill. ; 47 cm.. La plupart des Vendéens, soldats, nobles, comme officiers, n'ont plus l'enthousiasme de se battre, de plus le clergé n'étant pas persécuté, très peu de prêtres étaient favorables à l'insurrection, une bonne partie soutenait même Napoléon[17]. La Rochejaquelein et Simon Canuel, ancien officier républicain devenu major-général dans l'armée vendéenne, apprennent les propositions de Fouché mais les refusent, néanmoins d'autres officiers, Suzannet notamment, n'y étaient pas insensibles. La mort du général en chef diminua grandement le moral des Vendéens et beaucoup commençaient à déserter. Les Chouans regagnent ensuite Rochefort-en-Terre. . Guerres napoléoniennesGuerre de VendéeChouannerie. Le 20 juillet, le Prince de La Trémoille débarque à Saint-Malo qui se rallie au Roi. BIB ATLAS 19 - Généraux et chefs de la Vendée militaire et de la chouannerie ; suivis de la liste alphabétique des chefs de division, officiers, 1793, 1799, 1815, 1832 / dir. Finalement le duc de Bourbon renonça et partit se réfugier en Espagne. Les 12 et 13 juin, Sapinaud décide de marcher avec le gros de l'armée sur la Vendée, une seconde force commandée par Auguste de La Rochejaquelein est envoyée prendre Thouars. Mais les Angevins et les Haut-Poitevins des généraux Suzannet, Sapinaud et d'Autichamp refusent de gagner le Bas-Poitou pour rejoindre La Rochejaquelein. Le. Battue, l'armée vendéenne se replie en bon ordre[11]. Dans la soirée, La Rochejaquelein, inquiet, fait cesser le débarquement et décide de gagner Saint-Jean-de-Monts. Elle est étroitement liée à la guerre de Vendée qui se déroula sur la rive gauche de la Loire, l'ensemble de … Le fort arbore le drapeau blanc, alertés les Impériaux contre-attaquent le 10 juillet, et, informés du faible nombre de leurs adversaires, escaladent le fort avec des échelles sur plusieurs côtés à la fois. par Pierre Le Gall), Bibliographie de la Contre-Révolution dans les provinces de l’Ouest ou des guerres de la Vendée et de la chouannerie : 1793-1815-1832, Saint-Brieuc et Paris, Éd. Les chefs vendéens se rassemblent alors à La Tessoualle. Le 2 juillet les Chouans sont à Locmariaquer où ils accueillent un troisième débarquement puis gagnent Grand-Champ, le lendemain, ils y sont attaqués par des douaniers commandés par le général Rousseau mais les Chouans mettent les Impériaux en déroute. Actif essentiellement dans les environs de Redon et Guérande, le général Pierre Louis du Cambout de Coislin commande ce département et dispose de 4 000 à 5 000 hommes sous ses ordres. Maîtres des campagnes et des petites villes, les Chouans songent un temps attaquer Saint-Brieuc mais renoncent. Pontbriand se porte alors à leur rencontre, mais face à ses forces plus importantes, les Impériaux renoncent et se replient sur Dinan sans combattre. À la même époque, des troubles eurent lieu aussi dans d'autres départements français comme dans l'Aveyron et la Lozère. Dans l'Ouest, c'est le vicomte de Cardaillac qui, à Nantes, est chargé de la répression et s'attache particulièrement à faire disparaître tout symbole de l'Empire ; de nombreuses personnes sont expulsées ou condamnées à l'exil[27]. Forces en présence; 1 550 hommes: 5 000 hommes: Pertes; 20 morts 183 blessés ~ 100 morts ~ 100 blessés: Chouannerie de 1815. Pour l'Ouest, une armée de 40 000 Prussiens commandée par le général de Borcke étaient en route. Les Vendéens laissent passer une occasion unique de détruire la division de Travot, mais ils renoncent par manque d’enthousiasme et le général impérial peut ainsi regagner Napoléonville. Ceux-ci escaladent les murailles et surprennent les 40 hommes de la garnison qui se rendent. Les Impériaux envoient alors des propositions de paix mais elles sont rejetées par de Sol. Cependant, les 9 et 10 avril, un décret impérial ordonna la mobilisation des gardes nationaux et des anciens soldats mis en congés. Pierre Cambronne, jugé à Paris, est acquitté ; ayant suivi Napoléon à l'île d'Elbe, il n'avait pas trahi la Restauration. La Chouannerie est une guerre civile qui opposa Républicains et Royalistes dans l'ouest de la France, en Bretagne, dans le Maine, l'Anjou et la Normandie, lors de la Révolution française. L'insurrection vendéenne et Chouannerie de 1815, surnommée la Petite chouannerie, fut une guerre qui opposa royalistes et bonapartistes à la suite du soulèvement des paysans de Vendée militaire, de Bretagne, d'Anjou et du Maine contre Napoléon I er durant les Cent-Jours. De son côté Lamarque, secondé par Brayer, quittait Nantes avec 3 000 hommes, le 11 juin il faisait sa jonction avec Travot à Machecoul, le 12 juin il occupait Legé et Palluau. Puis les Chouans s'emparent de Bécherel sans combattre, quelques armes sont encore saisies. L'armée régulière n'abandonna le drapeau et la cocarde tricolore, pour le remplacer par le blanc, que le 16 juillet, à la demande du maréchal Davout[20]. Finalement on s'en tient aux négociations, Fouché ordonne à d'Andigné de ne pas prendre les armes et les Prussiens se montrent par la suite plus prudents[25]. Le 20 juin, les deux armées se rencontrent sur la lande de Grand-Collet. Alexandre Courson de La Villevalio prit le commandement des Chouans des Côtes-du-Nord, dans les pays de Plancoët et Lamballe, le colonel Toussaint du Breil de Pontbriand reforma la division de Dinan. Il y reste deux ans avant d'être gracié en 1818 à la demande du neveu du roi, le duc d’Angoulême. Dans l'Ouest, la répression fut cependant assez modérée, rares furent les peines de mort prononcées, aucune ne fut exécutée[26]. Organisés tardivement, les Chouans de la Loire-Inférieure ne livrent que peu de combats. Les Chouans gagnent ensuite Sérent, puis Bignan, les 26 et 27 juin, le 28 l'Armée se rend à Baud, le 29 elle est à Pluvigner où elle est rejointe par plusieurs officiers de la maison du Roi. Puis 600 soldats partis de Saint-Malo, renforcés par 200 Fédérés de Dinan et Broons s'emparent de Plancoët que les Chouans évacuent. Les généraux impériaux Delaborde et Travot n'ont que peu de troupes à opposer aux insurgés, presque tous les régiments de ligne étant appelés à combattre aux frontières. Lors de l' insurrection de 1815, les Vendéens font 66 prisonniers lors de la guerre, lesquels sont relâchés contre la promesse de ne plus prendre les armes. Le 20 mai, les Impériaux, à court de munitions, se replient sur Angers et Saumur. Le général Brayer est condamné à mort mais se réfugie à Buenos Aires. Rapidement des bandes se formèrent en Ille-et-Vilaine. Actif essentiellement dans les environs de Redon et Guérande, le général Pierre Louis du Cambout de Coislin commande ce département et dispose de 4 000 à 5 000 hommes sous ses ordres. Le 27 mai, en Mayenne, le général chouan Louis d'Andigné s'empare de Cossé-le-Vivien avec 1 500 hommes. Ceux-ci se retranchent dans une tour et les Chouans, dépourvus d'artillerie, ne peuvent prendre la ville en totalité. Guerre de Vendée et guerre des Chouans (mêmes causes, mêmes effets, en Bretagne et Normandie) feront quelque 600 000 morts, dont 210 000 civils exécutés, 300 000 morts de faim et de froid (100 000 enfants). La rencontre se produit le 21 juin, les Impériaux au nombre de 1 500 à 3 000 chargent à la baïonnette les Chouans, au nombre de 5 000 à 8 000, retranchés derrière des haies et de fossés. Depuis Londres, Louis de La Rochejaquelein avait annoncé l'arrivée par les Anglais d'un débarquement d'armes et de munitions. Il s'empare de Carhaix sans combattre le 30 juin. Il arrive à proximité de leurs troupes à Saint-Étienne-de-Corcoué. Cependant, Pontbriand et une dizaine de cavaliers s'aventurent à proximité de la ville où ils sont acclamés par la population, ils tentent alors d'entrer dans Saint-Brieuc où là encore la population les acclame, les Fédérés n'osent pas intervenir et la ville tombe au pouvoir des Royalistes. Les généraux vendéens sont divisés, Auguste de La Rochejaquelein est opposé à la paix, en revanche Charles d'Autichamp y est favorable. Le 19 mai, le général Jean-Pierre Travot tente avec 900 hommes de s'emparer du convoi de munitions en route pour le bocage mais il se heurte à l'arrière-garde vendéenne commandée par Nicollon Desabayes qui parvient à résister suffisamment longtemps pour permettre la fuite des chariots[6]. En Vendée, à la suite de l'échec de Napoléonville, Louis de La Rochejaquelein décide de retourner à Saint-Gilles-sur-Vie afin d'accueillir un nouveau débarquement d'armes. continué par Yves Lemière, éd. Le 19 mai, le général Jean-Pierre Travot tente avec 900 hommes de s'emparer du convoi de munitions en route pour le bocage mais il se heurte à l'arrière-garde vendéenne commandée par Nicollon Desabayes qui parvient à résister suffisamment longtemps pour permettre la fuite des chariots[6]. Lamarque dispose de 6 000 hommes, le 17 juin, il apprend que les Vendéens, au nombre de 8 000 et commandés par d'Autichamps, Sapinaud et Suzannet, sont à Rocheservière. Suzannet, grièvement blessé, meurt le lendemain[14]. En Vendée Sapinaud et Auguste de La Rochejaquelein écrivent à Cholet au général Lamarque qu'ils sont prêts à rallier ses troupes pour combattre les Alliés en cas de démembrement de la France. Guerre de Vendée et Chouannerie de 1815; Guerre de Vendée et Chouannerie de 1832; L. Liste de massacres de la guerre de Vendée et de la Chouannerie; P. Jean-François Paulouin; T. Traité de la Mabilais; U. François-Constant Uzureau; V. Virée de Galerne À la suite de la chute définitive du Premier Empire, la France allait être occupée par 1 200 000 soldats de la coalition : Russes, Prussiens, Autrichiens et Britanniques. Il y reste deux ans avant d'être gracié en 1818 à la demande du neveu du roi, le duc d’Angoulême. Il n'avait pas osé rétablir la conscription mais les paysans de l'ouest le prirent comme tel. Des heurts et des bagarres opposent quotidiennement des bandes chouannes ou d'anciens marins impériaux aux soldats prussiens, ces affrontements font des blessés mais on ne compte pas de mort à l'exception d'un officier prussien, tué en duel par le chevalier du Boberil, un officier chouan de l'armée de d'Andigné. Contrairement au sud de la France, la Terreur blanche ne fut pas très virulente dans l'Ouest, il n'y eut pas de vague d'assassinats contre les partisans de Napoléon[26]. Les anciennes troupes impériales ne sont guère disposées à abandonner le drapeau et la cocarde tricolore. L'affrontement est court, les fédérés paniquent et les Chouans remportent une première victoire. La bataille s'engage, elle tourne à l'avantage des Impériaux, La Rochejaquelein est tué lors du combat. Le 24 juin, ils apprennent la victoire de Napoléon à la bataille de Ligny le 16 juin. Le 1er juillet il rallie les Cornouaillais de Coroller et tente, avec environ 1 000 hommes, une attaque sur Châteauneuf-du-Faou. Pierre Cambronne, jugé à Paris, est acquitté ; ayant suivi Napoléon à l'île d'Elbe, il n'avait pas trahi la Restauration.